MAYAKU
Nom & URL | MAYAKU
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Crée le | 19/05/2017 |
Ajouté le | 19/05/2017 |
Par | Morden |
Résumé | Mayaku, ce portrait ancestral d'une ville nippone torturée, hantée par ses légendes inexplicables, ses rêves interdits et ses promesses sombres. Oseriez-vous franchir le pas ? Description longue |
Tags | mayaku, japon, ville, clan, réaliste, contemporain, communauté |
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Avis Votre ressenti en quelques mots
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Style | Jeu De RôleJeu où les Maîtres de Jeu développent un univers, des PNJ et des situations autour du jeu des joueurs. Ces derniers s'expriment la plupart du temps à la 3e personne idéalement sans laisser transparaître leurs pensées ou leurs sentiments. Ils n'ont aucune prise sur leur environnement ou sur les PNJ et leurs actions sont résolues par le Maître de Jeu. |
Ambiance(s) | City, Guerre, Horreur, Policier/Espionnage/Noir, Réaliste |
Époque(s) | Contemporain, |
Idée ? | Totalement originale(ou inspiration trop minime et floue) |
Activité | Non indiquée sur le jeu |
Limite d'âge | Interdit au moins de 12 ans car : Sexe, Violence, Jurons, Horreur, Drogues |
Avatars autorisés | Dessins réalistes, Dessins de type BD/Comics/Mangas, Autres |
Lignes | Libre ou Non précisé |
Vitesse de compréhension | Très rapideun ou deux topics à lire pour bien comprendre, pas ou peu de règles, fiche très courte avec infos essentielles = prévoir 1h |
Analyses Commentaire détaillé, construit |
Analysé 0 fois. |
Popularité | Vu sur 0 playlist |
Même ambiance 5 Jeux max. | Fairy Tail The New Darkness Imaginarium Daeonica MAYAKU |
Même style 5 Jeux max. | Tir Na Bealtaine Nobori no bushi MURDER Les Chroniques de Rëvalïa Stay with me |
Description Longue
On m’a dit que je ne connaîtrai jamais Mayaku. Lorsqu’on m’a demandé si j’étais prêt à voir vérités et conséquences, j’ai approuvé. Il y a devant mes yeux un horizon dessiné par quatre quartiers. Le portrait d’une ville nippone ancestrale torturée. Une légende, dit-on. Des évènements historiques qui ont apposés sur cet havre nippon ses éclats d’ombre. La décadence est notre routine. On vit avec elle, la décadence ; elle est nôtre âme. Les rues que nous arpentons sont les nôtres, ou les leurs. C’est une appartenance, c’est une appartenance, ça a toujours été mon portrait.
Dis-moi, te sacrifieras-tu pour te repentir ?